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영어

This article analyzes the historical variations of both pre-theoretical and theoretical thoughts of “incompleteness” and demonstrates the consequences that have led man to the state of incompleteness. In the new era, especially in the 20th century when it when it so happened that mankind reached a point where it is impossible to produce fullness incompleteness began to be expressed in social practices with a greater sense of ambivalence ever known since the Middle Ages. The science and art in the 20th century is unthinkable without division and re-construction of the human body in psychoanalysis, which reveals that man is the place for body and soul. Physical incompleteness, as reconstructing material in art and literature, is widely used as an aesthetic means of contemporary art. In the second half of the 20th century following the disappearance of contemporary art, the human body was absent, which was proved over a matter of time.

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Déjà à l’époque où l’apparition de l’homme sur terre est textuellement démontrable, il se sent et s’inscrit dans le thème marqué par des catégories de l’incommensurable. D’une part, l’homme se déclare la couronne de tous les êtres vivants (ce dont il a oublié d’informer les autres créatures), d’autre part, il souffre en même temps du sentiment d’être moins fort que les animaux et de peur de tout ce qui l’entoure. Initialement, l’homme a été privé de paramètres corporels permettant de survivre, alors que par la suite ont surgi les capacités et les pouvoirs d’inventer en abondance tout ce qui lui manquait à sa plénitude－soit des dents aigues et des ongles, soit bonheur, spiritualité, argent, puissance, potentiel plus performant cognitif, jeunesse ou beauté. En plus, il est le seul être vivant qui sache quels sont les signes où se cache son manque réel ou imaginé et comment y remédier. L’article est consacré aux variantes historiquement différentes avant-théoriques et théoriques de la pensée de l’ «être incomplet» ainsi qu’à la démonstration des conséquences auxquelles le jeu d’incomplétude l’a amené. Dans les temps nouveaux et surtout au 20ième siècle quand il s’est avéré qu’il sera impossible deconstruire la plénitude, l’être incomplet a commencé à se détailler de façon manifeste ce qui s’exprime dans les pratiques sociales avec l’ambivalence connue depuis le moyen âge: punition en décapitant ou en privant du phallus－castration comme mesure de punition ou moyen de parvenir au timbre de voix particulier ou l’invention du complexe de castration. La science et l’art du 20ième siècle n’est pas pensable sans partage ou sans re-construction du corps humain: en psychanalyse, l’homme est le lieu d’analyse du corps et de l’âme, dans l’ingénierie des gênes－matériel de reconstruction, dans l’art et la littérature －en commencent par Baudelaire, Truffaut, le surréalisme, Giacometti et Beckett－l’être corporellement incomplet est largement exploité comme moyen esthétique de l’art contemporain. Et l’événement de sa disparition à la deuxième moitié du 20ième siècle ou l’être manqué ne s’est avéré qu’une question de temps.