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La philosophie d'H. Bergson a une “porte" trè ouverte qui permet d'entrer et de sortir librement. De ce fait, les textes d'H Bergson se préentent en diverses couleurs : philosophique, scientifique, religieuse, etc.
Toutefois, cette tendance trop souvent néligé d‘un philosopher “bergsonien", paraî qu'elle ne porte presque jamais intéê du . Comme si le , qu‘il soit bergsonien ou non, éait conç toujours inféieur et secondaire, comme “chose" qui doit se soumettre àUn systèe philosophique préendu Absolu et Universel.
Cette article a donc pour objet de réntroduire au une “source" renaissante. Selon nous, le qu‘il faut s'adresser àquiconque veut penser une base indispensable à restituer, sans excè ni manque, sans importance ni insignifiance. Cela dit que le est essentiel et primordial pour toute la philosophie et pour toute notre vie.
Notre éude n'est pourtant pas de faire entrer en rivalité“dualiste" entre “ce qui est" et “ce qui n'est pas", mais bien au contraire de restaurer le dialogue interrompu entre ces deux modes de penser bien opposé. C'est là en fait, le “philosopher autrement bergsonien" qui ne va s'achever, non pas par l'explication logico-philosophique de manièe “moderne dogmatique" ou “postmoderne anarchique", mais que par la duré selon laquelle on peut reprendre une méhode nouvelle, méhode qui n'est pas déà formé, mais qui est formante àla faveur de la raison dialogique et relationnelle.
Seulement dans ce contexte, il n'est pas impossible qu‘une porte ouverte “bergsonienne" puisse servir un rationalisme nouveau, mais c'est encore loin d'êre une éidence, si le ne se rend pas ses statuts originels.