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L’objectif de cet article est d’interpréter le travail de Giacometti en tant que concept de liberté de Sartre. Sartre, connu sous le nom d’existentialisme athée et d’existentialisme matérialiste, définit la liberté, qui est un concept majeur de la philosophie de l’humanisme particulièrement chez Kant, non pas comme une base de l’action rationnelle, mais comme un néant qui est une négation de l’existence. Pour Sartre, la liberté signifie la négation de l’en-soi, la libération du soi et la déconnexion constamment néantisée avec soi-même. “L’être humain est son propre néant.” Le concept principal de Hegel, le pour soi, est un néant pour Sartre. Sartre considère déjà la conscience elle-même comme une activité d’élimination, cette conscience-là est un privilège de l’homme. Les êtres humains sont destinés à être libres. Sartre assume le destin inévitable de l’existence humaine en tant que liberté. Il y a tout d’abord une existence humaine et la liberté n’est pas la nature de l’homme, mais l’activité visant à néantiser l’existence est la nature de l’homme. Cette nature-là est la liberté. Pour Kant, la liberté est un fondement de l’acte moral ou bien une condition de la demande de la responsabilité mais, pour Sartre, la liberté est un destin qui doit définir les motifs et les objectifs de l’acte lui-même. Il est possible qu’on peut éclairer à nouveau l’art de Giacometti avec le concept de la liberté de Sartre. Premièrement, je constate que l’impossibilité d’achèvement que Giacometti a répétée au cours du processus de création et les mots de désespoir dans le processus d’expression reconnaissent l’absence de choses. En se projetant, Giacometti utilise des moyens d’expression qui définissent sa motivation et son objectif sans savoir où aller : la néantisation de la donnée, le départ sans l’orientation définie et la méthodologie artistique de quand et comment il se termine. Deuxièmement, Giacometti reconnaît qu’il manque les principaux éléments d’expression dans les genres artistiques existants et y introduit les éléments d’expression d’autres genres. Il introduit particulièrement la distance et la perspective dans la sculpture, ainsi que le poids et la structure dans la peinture. Troisièmement, il perçoit que sa propre méthodologie est aussi l’absence d’un besoin obligatoire comme les genres existants. Giacometti exécute le nouveau commencement dans une situation d’anxiété et de désespoir avec la néantisation de la forme de la méthode de création. Ses oeuvres n’ont pas renoncé à la punition humaine qui a la liberté de devoir définir son but et sa motivation tout au long de son chemin et qui doit poursuivre son chemin sans objectif ni destination. Ainsi, Giacometti accumule de nombreuses empreintes d’essais et d’échecs répétés.