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Big data, Deep Learning et une technologie d’intelligence artificielle ont été développés et des expériences sont menées aux années 2010 dans le domaine des arts pour voir si la production automatique d’œuvres d’art est possible avec un programme informatique. Un programme créé en analysant le style de l’artiste grâce à la technologie de l’I.A. prend la place importante. Des résultats sont produits automatiquement sans intervention humaine. Il est maintenant possible de produire des œuvres post-artistes que l’on a une difficulté de les distinguer des œuvres originales. Des recherches et des expériences ont été menées dans divers domaines et les résultats évoluent à un rythme étonnamment rapide. La transition vers le paradigme numérique et le développement de la technologie de l’I.A. exigent de nouveaux concepts de créativité dans le domaine des arts. Dans ce contexte, cet article se concentre sur le principe de la création artistique de l’intelligence artificielle avec un exemple du projet Flow Machines de Sony CSL Paris. Nous examinons le concept d’algorithmes après la réflexion sur le projet Flow Machines. Les algorithmes ne sont pas appliqués uniquement dans l’ère du numérique et de l’I.A., mais cela est déjà apparu dans l’histoire de l’art, comme un « travail d’algorithmes pré-informatique ». Nous aimerions réfléchir à la créativité à l’ère de l’intelligence artificielle en prenant un exemple d’art algorithmique interactif, Life Writer de Laurent Mignonneau et Christa Sommerer en tant que nouveau type de l’œuvre dans lequel des algorithmes sont introduits. Le but de cette étude est de découvrir que la créativité de l’art ne résulte pas d’un « consensus » mais plutôt d’un « dissensus » et qu’il est nécessaire de prêter plus d’attention au « principe » de la création qu’au « résultat » de la création à l'ère de l’intelligence artificielle.