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Comme tous les autres socialistes utopistes, Charles Fourier attache, d'une part, à l'enfance et à la jeunesse, d'autre part, à la formation sans heurt et à l'éducation au sens large de l'enfance. Mais le propos de Fourier sur l'intervention dans les questions d'éducation est particulier par rapport de celui de ses compagnons. C'est à une critique psycho-philosophique fondamentale des systèmes d'instruction publique qu'il nous convie, parce que tout sont vicieux à la base, par la méconnaissance de ce qu'est vraiment l'homme, et plus encore de ce qu'est l'homme futur, l'enfant ou l'adolescent, victime à la seconde puissance d'une société absurdement organisée. Fourier ramène sa critique de l'éducation passée et présente à sa critique de la notion de travail. Il abolit nettement la distinction entre l'activité manuelle et l'activité intellectuelle. Fourier veut instruire rous les enfants sans exception. Il groupe la multitude et la groupe, ou la groupera, dans la Phalanstère, en une école unique, une école aux chances égales pour tous, qui sera l'école de la Phalanstère plutôt que l'école de la nation.


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Charles Fourier(샤를 푸리에), Jean-Jacques Rousseau(장-자크 루소), Socialistes utopistes(유토피아 사회주의자), Philosophie(계몽주의), Education des enfants(어린이 교육), Phalanstre(팔랑스테르)