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Dans la guerre civile sanglante des années 1990, des intellectuels, des artistes et des écrivains étaient les premières cibles des assassinats par les terroristes islamiques. Dans cette situation, il y avait des écrivains qui ont cessé d'écrire par l'horreur ou ont émigré dans un pays étranger. Mais d'un autre côté, cette situation de crise a favorisé une production liittéraire. C'est-à dire qu'une nouvelle littérature qualifiée de ‘littérature de crise’ ou de ‘littérature de l'urgence’ a pris naissance et pris forme. Cette nouvelle littérature traite la même tragédie en la réalisant avec les façons variées et particulières. Cela féconde des paysages littéraires algériens des années 90. Dans cette étude, on a examiné la variété littéraire des accusations contre le terrorisme en analysant Timimoun de Rachid Boudjedra, La Malédiction de Rachid Mimouni et Le dernier été de la raison de Tahar Djaout. Non seulement ces trois écrivains ont annoncé l'ouverture de ‘la littérature de l'urgence’, mais encore ils sont devenus les symbols des victimes d'assassinats. Cela leur donne la représentativité de la nouvelle littérature. Du reste, leurs oeuvres montrent des caractéristiques respectivement différentes ; un long monologue intérieur (Timimoun), un roman de l'action humaine (La Malédiction), une allégorie apocalyptique fabriquée de dérision et d'extrême (Le dernier été de la raison).


Dans la guerre civile sanglante des années 1990, des intellectuels, des artistes et des écrivains étaient les premières cibles des assassinats par les terroristes islamiques. Dans cette situation, il y avait des écrivains qui ont cessé d'écrire par l'horreur ou ont émigré dans un pays étranger. Mais d'un autre côté, cette situation de crise a favorisé une production liittéraire. C'est-à dire qu'une nouvelle littérature qualifiée de ‘littérature de crise’ ou de ‘littérature de l'urgence’ a pris naissance et pris forme. Cette nouvelle littérature traite la même tragédie en la réalisant avec les façons variées et particulières. Cela féconde des paysages littéraires algériens des années 90. Dans cette étude, on a examiné la variété littéraire des accusations contre le terrorisme en analysant Timimoun de Rachid Boudjedra, La Malédiction de Rachid Mimouni et Le dernier été de la raison de Tahar Djaout. Non seulement ces trois écrivains ont annoncé l'ouverture de ‘la littérature de l'urgence’, mais encore ils sont devenus les symbols des victimes d'assassinats. Cela leur donne la représentativité de la nouvelle littérature. Du reste, leurs oeuvres montrent des caractéristiques respectivement différentes ; un long monologue intérieur (Timimoun), un roman de l'action humaine (La Malédiction), une allégorie apocalyptique fabriquée de dérision et d'extrême (Le dernier été de la raison).