초록 열기/닫기 버튼

Depuis 1996, le dialogue Asie-Europe fournit un cadre de dialogue sans équivalent qui permet d'améliorer la relation interrégionale Asie- Europe. Cependant certains jugent que l'ASEM se contente d'être un “talk shop” qui est incapable de prendre une décision et de donner des résultats. De même le rapport célébrant les dix années d'activité d'ASEM ne réservait pas les critiques aux premier et deuxième pilier ce qui consistent les coopérations politique et économique des deux régions. C'est uniquement le troisième pilier que le rapport s'est dit satisfait de ses contributions substantielles. Le problèmatique de notre article part sur le constat que l'on a tendance d'évaluer ASEM sous l'angle essentiellement économique et politique en négligeant le troisième pilier de l'ASEM. Il faut rappeler que le dialogue Asie-Europe s'articule autour de trois grands domaines thématiques, soit trois piliers d'ordre politique, économique et culturel/ social/éducatif. C'est la raison pour laquelle que notre article se propose d'analyser les activités d'ASEM en focalisant sur son troisième pilier. En comparaison de l'APEC qui est une organisation exclusivement économique, cette multidimensionnalité consiste l'un des caractères de l'ASEM qui la distingue des autres institutions. Le troisième pilier a pour objectif d'acquérir une meilleure connaissance de l'autre partie. Pour réussir et inscrire ASEM dans le long terme, il faut un renforcement de la connaissance mutuelle entre l'Asie et l'Europe. Il s'agit d'intensifier les programmes de coopération globaux, notamment à travers les échanges culturels, éducatifs, sociaux et autres. Si au départ le troisième pilier s'est créé pour constituer un élément clé du renforcement des liens économique et politique, c'est-à-dire le pilier auxiliaire, nous observerons que les activités de troisième pilier prouvent au fur à mesure sa place à part entiere. L'effet 11 septembre a notamment donné à l'ASEM la possibilité de servir le cadre comme un dialogue entre les cultures, civilisations et les religions. Afin de réduire le risque de fracture et combattre la crispation identitaire, le dialogue de cultures, civilisations et les religions est devenu l'un des thèmes incontournables à traiter au sein de l'ASEM. De mê̂me l'ASEM a servi comme le cadre utile pour favoriser le respect des cultures diverses et pour faire adopter la Convention de la diversité culturelle de l'UNESCO.


Depuis 1996, le dialogue Asie-Europe fournit un cadre de dialogue sans équivalent qui permet d'améliorer la relation interrégionale Asie- Europe. Cependant certains jugent que l'ASEM se contente d'être un “talk shop” qui est incapable de prendre une décision et de donner des résultats. De même le rapport célébrant les dix années d'activité d'ASEM ne réservait pas les critiques aux premier et deuxième pilier ce qui consistent les coopérations politique et économique des deux régions. C'est uniquement le troisième pilier que le rapport s'est dit satisfait de ses contributions substantielles. Le problèmatique de notre article part sur le constat que l'on a tendance d'évaluer ASEM sous l'angle essentiellement économique et politique en négligeant le troisième pilier de l'ASEM. Il faut rappeler que le dialogue Asie-Europe s'articule autour de trois grands domaines thématiques, soit trois piliers d'ordre politique, économique et culturel/ social/éducatif. C'est la raison pour laquelle que notre article se propose d'analyser les activités d'ASEM en focalisant sur son troisième pilier. En comparaison de l'APEC qui est une organisation exclusivement économique, cette multidimensionnalité consiste l'un des caractères de l'ASEM qui la distingue des autres institutions. Le troisième pilier a pour objectif d'acquérir une meilleure connaissance de l'autre partie. Pour réussir et inscrire ASEM dans le long terme, il faut un renforcement de la connaissance mutuelle entre l'Asie et l'Europe. Il s'agit d'intensifier les programmes de coopération globaux, notamment à travers les échanges culturels, éducatifs, sociaux et autres. Si au départ le troisième pilier s'est créé pour constituer un élément clé du renforcement des liens économique et politique, c'est-à-dire le pilier auxiliaire, nous observerons que les activités de troisième pilier prouvent au fur à mesure sa place à part entiere. L'effet 11 septembre a notamment donné à l'ASEM la possibilité de servir le cadre comme un dialogue entre les cultures, civilisations et les religions. Afin de réduire le risque de fracture et combattre la crispation identitaire, le dialogue de cultures, civilisations et les religions est devenu l'un des thèmes incontournables à traiter au sein de l'ASEM. De mê̂me l'ASEM a servi comme le cadre utile pour favoriser le respect des cultures diverses et pour faire adopter la Convention de la diversité culturelle de l'UNESCO.