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Cette étude a pour but de présenter globalement la théorie de Jean- Michel Adam et de préciser la notion de « séquence » dans sa linguistique. Même si la notion de séquence constitue une des thèses importantes, la théorie d'Adam ne peut être expliquée par le concept de « séquence ». Adam, d’une part, à travers la séquence, tente de montrer la tâche de la linguistique textuelle qui explique l’aspect structural du texte. D’autre part, à travers l’analyse du discours, il cherche à éclaircir la valeur énonciative du texte. La pensée d’Adam présente que ces deux domaines traditionnellement opposés peuvent se caractériser par la complémentarité théorique. Le but de son analyse du texte est à trouver le point permettant de joindre l’analyse structurale et du discours. Ensuite, Adam veut montrer que l’application du résultat obtenu par la jonction théorique rendre l’étude du texte plus abondante. Ce processus nous permet également d’illustrer la relation complémentaire entre l’idée qui manifeste que le sens du texte est un effet de la structure textuelle et qu’il dépend de paramètres extérieurs du texte, par exemple la situation sociale, la particularité spatiale, etc. La théorie de la séquence fait partie de la linguistique textuelle, c’est-à-dire l’analyse structurale. La séquence est une unité qui s’utilise souvent dans de divers domaines, par exemple, l’étude du cinéma, la narratologie, la grammaire de texte, la linguistique textuelle, etc. La raison pour laquelle l’étude d’Adam est significative est d’essayer de prototyper l’analyse du texte par l'unité séquentielle. Comme, la grammaire de texte prend la phrase ou la proposition comme unité de base, elle a la difficulté de résoudre le problème pour délimiter le sens du texte. C’est ainsi que bien des chercheurs définissent que le texte n’est pas un liage linéaire des phrases mais le réseau complexe des unités de base. A partir de cette idée, Adam postulant un niveau intermédiaire comme séquence ou période, le texte peut être analysé de façon plus systématique. Ce niveau intermédiaire n’est pas simplement celui formel mais celui qui ne peut qu’être défini par la considération complexe du sens et de la forme. Cette idée permet de fournir une partie de base pour résoudre plus théoriquement le problème du sens texuel.