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Cette étude a pour but d’examiner le risque des actes génocides qui s’accompagnent de la phénomène xénophobe dans les sociétés française et israélienne. Il est nécessaire de comparer deux Juifs comme un victime et un agent de la xénophobie au vingtième siècle. Sous l'Occupation allemande, il y avait la plus grande arrestation massive des juifs qui s’appelle la rafle du Vélodrome d'Hiver (16 juillet 1942). L’objet de cette arrestation était pour les juifs étrangers ou apatrides réfugiés en France. A la suite, les juifs français ont été arrêtés par la police française. Cette rafle a montré que le gouvernement de Vichy collaboraient à la politique du régime nazi. Après la Deuxième Guerre mondiale, les juifs habités à la Palestine et les juifs immigrés d’Europe, ont bâti l’Israël en 1948. Cette fondation a provoqué des guerres en Moyen-Orient. Depuis ce temps-là, la plupart des palenstines ont été réfugiés dans les pays du Moyen-Orient. En 1982, le gouvernement d’Israël a intervenu au Liban pour éliminer l’Organisation de libération de la Palestine. Dans cette intervention, le massacre de Sabra et Chatila(deux camps de réfugiés palestiniens) a été perpétré par des phalangistes libanais chrétiens sous la collaboration des soldats israéliens, du 16 au 18 septembre 1982. La rafle du Vélodrome d'Hiver et le massacre de Sabra et Chatila sont représentés par deux films, <La Rafle>(2010) et <Valse avec Bachir>(2008). Ces derniers reposent sur les témoignages et les documents des évènements. En particulier, ils posent le problème de la responsabilité pour deux gouvernements français et israélien. <La Rafle>tente de montrer que le gouvernement français d’aujourd’hui reconnaît les torts de Vichy France. Ce film décrit les juifs comme un victime de la xénophobie sous l’Occupation. <Valse avec Bachir>essaie de faire savoir deux faits : la culpabilité des militants israéliens et la responsabilité des phalangistes libanais chrétiens. Le film considère les soldats israéliens comme un victime de la violence nationale, non comme un agent de la xénophobie. Car le gouvernement israélien ne reconnaît pas de responsabilité du massacre de réfugiés palestiniens. Par ce film, ce gouvernement veut se défausser de sa responsabilité sur les phalangistes libanais chrétiens. A ce point, il est nécessaire de remarquer le fait que la société juive réprimée par la violence reproduit une autre violence en Israël. Cette attention pose le problème de la xénophobie sur les réfugiés palestiniens dans les pays du Moyen-Orient.