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아리스토텔레스는 『형이상학』9권 3장에서 메가라 학파의 주장 M을 비판한다. 그들의 주장 M은 ‘어떤 X가 있고, 그 X가 energeia일 때, 그때만 X 는 dunamis가 된다'고 정식화할 수 있다. 주장 M에 대하여, 아리스토텔레스는 세 가지 비판을 제시하고 있다. (1) 기술을 통한 비판, (2) 감각을 통한 비판, (3) 운동과 변화를 통한 비판이 그것들이다. 주장 M을 비판하기 위한 전체 논증을 아리스토텔레스는 간접증명의 방식으로 구성한다. 즉 M의 결론들이 불합리하다(alogon)는 것을 보임으로써, M을 받아 들일 수 없다는 것을 증명하려고 한다. 다음은 이에 대한 구체적 내용이다. (1) 주장 M은 어떤 기술 X를 배우고 잊어버리고 다시 회복할 가능성을 제거한다. (2) 주장 M은 현재 감각되는 것만이 있다는 프로타고라스의 감각주의로 귀착된다. (3) 주장 M은 P가 -P가 되거나 Q로 될 변화와 운동의 가능성을 제거한다. 주 장 M으로부터 변화와 운동을 제거하는 불합리한 결론이 도출된다. 요컨대, 주장 M은 dunamis와 energeia를 동일시하려는 태도다. 이에 대한 아리 스토텔레스의 비판은 sozein tên dunamin을 위한 것이고, 변화와 운동을 존재 론적으로 근거지우려는 근본적 의도 속에서 이루어진 것이다.


Il nous semble tout remarquable qu’Aristote critique la thèse des Mégariques, c’est-à-dire ≪la thèse M≫, dans la Métaphysique Livre 9, chapitre 3, selon laquelle il y a la possibilité ou la capacité d’ ≪A≫, lorsque ≪A≫ ne s’actualise que, et d’après laquelle c’est l’energeia même qui ne garantit que la dunamis. Les critiques aristotéliciennes de cette thèse développent sous les trois aspects : (1) la critique par la technê, (2) la critique par la sensation, (3) la critique par le changement et par le devenir. Pourtant, son argument global contre la thèse M s’établit par l’intermédiaire de la reductio ad absurdum qui aboutit à démontrer les conséquences de celle-là comme absurdes. Voici en les critiques: (1) La thèse M dégage catégoriquement la possibilité d’apprendre la technê et de l’oublier et la récupérer dans les circonstances quotidiennes qui nous sont fréquemment survenues. (2) La thèse M est parvenue à la doctrine de Protagoras par rapport à la sensation qui implique la conséquence ridicule : la sensation ou la capacité de celle disparaît quand nous n’en nous servons pas. (3) La thèse M saurait être qualifié comme anéantissement du changement et du devenir. Ce qui est privé de dunamis, c’est impossible, de sorte que ce qui n’a pas été arrivé, s’avère impossible de se produire. Il en résulte que la possibilité du changement se trouve bloquée lourdement par la thèse M qui s’oppose au passage du ne-pas-arriver X à l’être-X ou le sera-X. In summa, approuver la thèse M mène à identifier la dunamis et l’energeia, ou plutôt à réduire la première à la dernière; de là advient que le changement et le devenir se voient supprimés. Il apparaît ainsi nécessaire de distinguer l’une de l’autre afin de sauvegarder la dunamis et par suite le changement que les Mégariques tentent d’anéantir et d’exclure du domaine des êtres. C’est la raison pour laquelle qu’Aristote exprime explicitement son hostilité évidemment philosophique à l’encontre de la thèse M.


Il nous semble tout remarquable qu’Aristote critique la thèse des Mégariques, c’est-à-dire ≪la thèse M≫, dans la Métaphysique Livre 9, chapitre 3, selon laquelle il y a la possibilité ou la capacité d’ ≪A≫, lorsque ≪A≫ ne s’actualise que, et d’après laquelle c’est l’energeia même qui ne garantit que la dunamis. Les critiques aristotéliciennes de cette thèse développent sous les trois aspects : (1) la critique par la technê, (2) la critique par la sensation, (3) la critique par le changement et par le devenir. Pourtant, son argument global contre la thèse M s’établit par l’intermédiaire de la reductio ad absurdum qui aboutit à démontrer les conséquences de celle-là comme absurdes. Voici en les critiques: (1) La thèse M dégage catégoriquement la possibilité d’apprendre la technê et de l’oublier et la récupérer dans les circonstances quotidiennes qui nous sont fréquemment survenues. (2) La thèse M est parvenue à la doctrine de Protagoras par rapport à la sensation qui implique la conséquence ridicule : la sensation ou la capacité de celle disparaît quand nous n’en nous servons pas. (3) La thèse M saurait être qualifié comme anéantissement du changement et du devenir. Ce qui est privé de dunamis, c’est impossible, de sorte que ce qui n’a pas été arrivé, s’avère impossible de se produire. Il en résulte que la possibilité du changement se trouve bloquée lourdement par la thèse M qui s’oppose au passage du ne-pas-arriver X à l’être-X ou le sera-X. In summa, approuver la thèse M mène à identifier la dunamis et l’energeia, ou plutôt à réduire la première à la dernière; de là advient que le changement et le devenir se voient supprimés. Il apparaît ainsi nécessaire de distinguer l’une de l’autre afin de sauvegarder la dunamis et par suite le changement que les Mégariques tentent d’anéantir et d’exclure du domaine des êtres. C’est la raison pour laquelle qu’Aristote exprime explicitement son hostilité évidemment philosophique à l’encontre de la thèse M.