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Cet article a pour but d'analyser les signes politques montrés par les monuments publics représentatifs, construits à l'est de Paris au 19e siècle. Nous adoptons les méthodologies interdisciplinaires, principalement l'histoire de la culture urbaine et la sémiotique de la ville. Afin d'en créer une nouvelle, nous essayons de synthétiser diverses méthodologies : l'histoire urbaine et l'anthropologie historique, la théorie du paysage culturel dans le domaine de la géographie culturelle et la méthodologie que Kevin Lynch a utilisée pour étudier la physionomie et l'image de la ville. Nous révélerons ainsi aux points de vue sémiotique urbaine et sémiotique politique, ce que signifient les monuments publics de Paris au 19e siècle, érigés à la place de la Bastille, à la place de la République et à la place de la Nation. La colonne de juillet construite à la place de la Bastille représente la révolution de 1830. Les statues dressées à la place de la République et à la place de la Nation représentent la république. Tous ces monuments fonctionnent comme symboles politiques pour maintenir l'ordre établi et la paix sociale, ce qui permet d'adoucir l'image de l'est de Paris en tant que quartiers révolutionnaires et populaires. Ces monuments publics, tout comme le cas de ceux à l'ouest de Paris, contribuent à former l'image de Paris en tant que la ville de la culture. Les signes des spectacles urbains de Paris ont été ainsi créés dans le contexte historique. La sémiotique de la ville et l'histoire de la culture urbaine sont des outils utiles qui nous permettent de comprendre l'effet des symboles politiques inhérents à l'espace urbain.


Cet article a pour but d'analyser les signes politques montrés par les monuments publics représentatifs, construits à l'est de Paris au 19e siècle. Nous adoptons les méthodologies interdisciplinaires, principalement l'histoire de la culture urbaine et la sémiotique de la ville. Afin d'en créer une nouvelle, nous essayons de synthétiser diverses méthodologies : l'histoire urbaine et l'anthropologie historique, la théorie du paysage culturel dans le domaine de la géographie culturelle et la méthodologie que Kevin Lynch a utilisée pour étudier la physionomie et l'image de la ville. Nous révélerons ainsi aux points de vue sémiotique urbaine et sémiotique politique, ce que signifient les monuments publics de Paris au 19e siècle, érigés à la place de la Bastille, à la place de la République et à la place de la Nation. La colonne de juillet construite à la place de la Bastille représente la révolution de 1830. Les statues dressées à la place de la République et à la place de la Nation représentent la république. Tous ces monuments fonctionnent comme symboles politiques pour maintenir l'ordre établi et la paix sociale, ce qui permet d'adoucir l'image de l'est de Paris en tant que quartiers révolutionnaires et populaires. Ces monuments publics, tout comme le cas de ceux à l'ouest de Paris, contribuent à former l'image de Paris en tant que la ville de la culture. Les signes des spectacles urbains de Paris ont été ainsi créés dans le contexte historique. La sémiotique de la ville et l'histoire de la culture urbaine sont des outils utiles qui nous permettent de comprendre l'effet des symboles politiques inhérents à l'espace urbain.