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Traditionnellement l'ambiguïté se décrit comme une homonymie sinon comme une polysémie. Mais cette façon de la décrire exclusivement n'est pas très efficace. Parce que dans le phénomène de l'ambiguïté, certains aspects de l'homonymie et de la polysémie se confondent tout en coexistants. C'est la raison pour laquelle il serait mieux de la décrire d'une manière combinée. Nous l'avons pris comme un mécanisme 'déconstruction - reconstitution' appelée par J. P. Sueur. L'analyse au niveau de déconstruction cela consiste à déterminer et à énumérer des interptrétations distinctes du verbe 'devoir' par différentes propriétés syntaxiques et sémantiques. Par contre l'analyse au niveau de reconstitution c'est trouver une sémantisme de base et dans laquelle peuvent se réunir en un sens commun les différentes interprétations du verbe 'devoir'. Pour être complètement décrit, l'analyse de l'ambiguïté doit se faire sur ces deux niveaux d'analyse. Dans cette perspective, nous avons analysé l'ambiguïté du verbe 'devoir' et obtenu le résultat suivant : (I) Au niveau de 'déconstruction', l'ambiguïté de 'devoir' se détermine bien en deux interprétations distinctes par différentes propriétés syntaxiques et sémantiques : devoir I et devoir II. l'un comprend 《nécessité》, 《obligation》 et l'autre 《probabilité》. Les critières que nous avons examiné pour distinguer ces interprétations sont 'différence de portée', 'question', 'exclamation', 'pronominalisation-le(pronom neutre)', 'proposition temporelle', 'futur(temps)', 'devoir + être en train de(aspect)', etc. Les deux interprétations se comportent différemment avec ces paramètres (II) Au niveau de 'reconstitution', les deux interprétations bien distinctes syntaxiquement et sémantiquement se reconstituent en un sens commun par 'le postulat de conversation' qui est proposé au niveau de la logique conversationnelle par Karttunen(1973). D'après ce qu'il a expliqué, l'utilisation de verbe 'devoir' implique toujours 'une dégradation de la force de l'assertion' par rapport à son absence d' utilisation , Aussi bien pour la relation entre la phrase avec devoir et la phrase sans devoir que pour celle entre 'devoir I' et 'devoir II', se trouve la même relation. La dégradation de la force de l'assertion de 'devoir II' est plus forte que celle de que 'devoir I'. Alors Nous pouvons voir apparaître la relation suivante au niveau du ' postulat de conversation entre les trois, c'est-à-dire la phrase sans 'devoir' - la phrase avec 'devoir I' - la phrase avec 'devoir II' sans devoir → devoir I(nécessité) → devoir II(probabilité) (Pierre fait ce travail) (Pierre doit faire ce travail) (Pierre doit faire ce travail) Sur l'axe de la 'dégradation de la force de l'assertion', les 'devoir I' et 'devoir II' s'expliquent de la même manière et nous définissons ce processus de 'dégradation de la force de l'assertion' comme un sémantisme de base de 'devoir' qui peut générer les divers interprétations du verbe 'devoir'


Traditionnellement l'ambiguïté se décrit comme une homonymie sinon comme une polysémie. Mais cette façon de la décrire exclusivement n'est pas très efficace. Parce que dans le phénomène de l'ambiguïté, certains aspects de l'homonymie et de la polysémie se confondent tout en coexistants. C'est la raison pour laquelle il serait mieux de la décrire d'une manière combinée. Nous l'avons pris comme un mécanisme 'déconstruction - reconstitution' appelée par J. P. Sueur. L'analyse au niveau de déconstruction cela consiste à déterminer et à énumérer des interptrétations distinctes du verbe 'devoir' par différentes propriétés syntaxiques et sémantiques. Par contre l'analyse au niveau de reconstitution c'est trouver une sémantisme de base et dans laquelle peuvent se réunir en un sens commun les différentes interprétations du verbe 'devoir'. Pour être complètement décrit, l'analyse de l'ambiguïté doit se faire sur ces deux niveaux d'analyse. Dans cette perspective, nous avons analysé l'ambiguïté du verbe 'devoir' et obtenu le résultat suivant : (I) Au niveau de 'déconstruction', l'ambiguïté de 'devoir' se détermine bien en deux interprétations distinctes par différentes propriétés syntaxiques et sémantiques : devoir I et devoir II. l'un comprend 《nécessité》, 《obligation》 et l'autre 《probabilité》. Les critières que nous avons examiné pour distinguer ces interprétations sont 'différence de portée', 'question', 'exclamation', 'pronominalisation-le(pronom neutre)', 'proposition temporelle', 'futur(temps)', 'devoir + être en train de(aspect)', etc. Les deux interprétations se comportent différemment avec ces paramètres (II) Au niveau de 'reconstitution', les deux interprétations bien distinctes syntaxiquement et sémantiquement se reconstituent en un sens commun par 'le postulat de conversation' qui est proposé au niveau de la logique conversationnelle par Karttunen(1973). D'après ce qu'il a expliqué, l'utilisation de verbe 'devoir' implique toujours 'une dégradation de la force de l'assertion' par rapport à son absence d' utilisation , Aussi bien pour la relation entre la phrase avec devoir et la phrase sans devoir que pour celle entre 'devoir I' et 'devoir II', se trouve la même relation. La dégradation de la force de l'assertion de 'devoir II' est plus forte que celle de que 'devoir I'. Alors Nous pouvons voir apparaître la relation suivante au niveau du ' postulat de conversation entre les trois, c'est-à-dire la phrase sans 'devoir' - la phrase avec 'devoir I' - la phrase avec 'devoir II' sans devoir → devoir I(nécessité) → devoir II(probabilité) (Pierre fait ce travail) (Pierre doit faire ce travail) (Pierre doit faire ce travail) Sur l'axe de la 'dégradation de la force de l'assertion', les 'devoir I' et 'devoir II' s'expliquent de la même manière et nous définissons ce processus de 'dégradation de la force de l'assertion' comme un sémantisme de base de 'devoir' qui peut générer les divers interprétations du verbe 'devoir'