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Ce travail se consacre à éclaircir le rapport entre les textes philosophiques qui concernent l'expérience phénoménologique du regard et le narcissisme de la vision chez Merleau-Ponty. Sartre a essayé de justifier la coexistence entre l'autre et le même à travers le regard. Nous pouvons y témoigner la déconstruction de la pensée dichotomique. Levinas nous a également montré son attention sur le visage de l'autre qui nous charge la responsabilité éthique pour aboutir à l'authenticité existentielle du sujet. Ces deux philosophes ne considerent pas le sujet et l'objet comme des êtres qui s'opposent à eux-meme. Dans la visibilité de Merlau-Ponty, le voyant devient le visible et le visible est le voyant. Ce renversement s'explique dans le narcissisme de la vision. Ce narcissisme n'est pas la métamorphose phénoménologique de l'élément psychologique. Il est plutôt un nom du structure perceptif dans lequel la chose et l'être adviennent de la manière différente de la métaphysique traditionelle. Le regard n'est pas la somme de toutes les données visuelles qui sont accumulées telle une flèche qui se fige dans la cible. Le regard est un lieu où l'image se connecte à notre corps. Autrement dit, le regard ne se limite pas à obtenir la simple information visuelle, mais il est un vécu conscient de l'esprit que notre corps opère à chaque moment. Le narcissisme de la vision et le regard s'expliquent à travers le chiasme dans la texture charnelle fondée par Merleau-Ponty en se contactant aux textes de Sartre et de Levinas. La décision existentielle de Sartre et le pratique de la responsabilité éthique de Levinas se produisent dans le narcissisme de la vision. Ce narcissisme de la vision est le vécu de la chair dans la texture charnelle qui se connecte aux images du monde.


Ce travail se consacre à éclaircir le rapport entre les textes philosophiques qui concernent l'expérience phénoménologique du regard et le narcissisme de la vision chez Merleau-Ponty. Sartre a essayé de justifier la coexistence entre l'autre et le même à travers le regard. Nous pouvons y témoigner la déconstruction de la pensée dichotomique. Levinas nous a également montré son attention sur le visage de l'autre qui nous charge la responsabilité éthique pour aboutir à l'authenticité existentielle du sujet. Ces deux philosophes ne considerent pas le sujet et l'objet comme des êtres qui s'opposent à eux-meme. Dans la visibilité de Merlau-Ponty, le voyant devient le visible et le visible est le voyant. Ce renversement s'explique dans le narcissisme de la vision. Ce narcissisme n'est pas la métamorphose phénoménologique de l'élément psychologique. Il est plutôt un nom du structure perceptif dans lequel la chose et l'être adviennent de la manière différente de la métaphysique traditionelle. Le regard n'est pas la somme de toutes les données visuelles qui sont accumulées telle une flèche qui se fige dans la cible. Le regard est un lieu où l'image se connecte à notre corps. Autrement dit, le regard ne se limite pas à obtenir la simple information visuelle, mais il est un vécu conscient de l'esprit que notre corps opère à chaque moment. Le narcissisme de la vision et le regard s'expliquent à travers le chiasme dans la texture charnelle fondée par Merleau-Ponty en se contactant aux textes de Sartre et de Levinas. La décision existentielle de Sartre et le pratique de la responsabilité éthique de Levinas se produisent dans le narcissisme de la vision. Ce narcissisme de la vision est le vécu de la chair dans la texture charnelle qui se connecte aux images du monde.